projet/manga/roman

Les voisins du dessus baisent allègrement et sans resserve.D'ailleurs les murs en rondins, peu solide vrombissent entre eux-mêmes. Ceci dit, Helm le voisin du dessous a à peine les yeux ouverts qu'il se lève déjà.tolèrent, il n’est pas contre les labeur de l’aube de ses voisins du dessus car ceux-ci contribuent à le réveiller en douceur et cela a tous les matins. à la même heure à son réveil il a à peine le temps de ressasser les souvenirs de son sommeil qu’il retrouve sous son corps celui d’Albert ponceau, son chat il constate son décès avec un point dans la gorge et s’étouffe dans ses pleurs aussitôt. le couple dérangé par les pleurs du jeune homme frappe a trois reprise trois grands coups sur leur sol suite à cela il tente en vain de refouler les souvenirs du chat encore bébé qui sautillait joyeusement sur c’est bottes. Ces donc en toute discrétion et a contre cœur, qu'il balance le cadavre de son ami par la fenêtre, faute de temps. Celui-ci s’écrase dans les buissons sauvages. pardonne-moi sir ponceau ce murmure Helm sanglotent tel un môme tombé dans la boue. Malgré le chagrin qui lui empoigne le cœur le jeune homme doit aller travailler. Ce dernier enfile une armure de bois maintenue par des plaques de métal rouillé, son uniforme de gardien de prison. il déteste sa fonction puisqu’il est isolé entre des murs de pierre.De plus comme un détenu il souhaite être libre.Un peu comme le jeune couple qui fait l'amour au-dessus de sa tête,ou libre comme une putain de Corneille ou comme sir ponceau maintenent bien loin de ça misérable existence. Son travail lui prend tout son temps il n'a ni amie ni compagne les jours ne lui sont gris et les nuits sont froides. Son unique chambre et l’une des trente chambres de l’auberge la moins chère de la basse ville de diurne celle-ci contient un matelas sans drap, ni oreiller des saucissons fumé pende à sa fenêtre, un grand chandelier de fer tordu soutien une chandelle en cire d'abeilles. chaque fois qu'il revient du travail il allume un petit feu dans une grande casserole. Il faut avouer que le royaume diurne est situé au sud-ouest de la mer de Dublouir dont le vent froid fait claquer le vague sur la glaise, la plage turquoise. Ce même vent fait trembler les girouettes et les infrastructure les moins solides de la basse ville. Sur La route Helm a due évitée trois femmes et cinq hommes tous complètement ivre de la veille probablement. curieusement ce dernier sont nu en plus de rire à Gorge déployer. l’une d'elles joue de la flute.elle a fait un clin d’œil à Helm. Il lui  renvoie sans pour autant lui sourire comme elle lui a souri. Les diurnes sont considérés comme un peuple à agissements et intérêt utopique qui frôle l’absurde,la vulgarité et l'anarchie selon certains. Si pour ce royaume l’idéal est de valoriser authenticité de chaque être qui y vit peu importe leur gout. pour d'autre ils représente le désordre et la folie de ce monde.Une fois rendue à ladite prison on assigne à Helm une nouvelle tête, cellule 5 915, un tueur. Capturer cette nuit par les seigneurs d’écailles dans les bois de la foret de daim.en outre ce bois de daim est situé a l'est de Diurne et s’étant jusques aux landes brune. par ailleurs, ce titre de seigneur appartient aux diurnes d’élite leur rôle est militaire et diplomatique. En bref, ils dirigent puis inspire le peuple, ils leur servent de modèle. Puisque au-delà de leurs défenses, le monde est régi par plusieurs royaumes disparates, différent du leur. Seules les Armée d'écaille font peuvent d'un peu plus de mesure en leurs actes il on également l'autorisation leur faisait face en cas de conflit. Helm monte au troisième étage rentrer sur le dixième couloir puits, va tout droit dans l’étroit couloir, il est ralenti par c’est collègue qui comme lui échange leur poste il y a ceux qui rentrent et ceux qui sortent, logique.-il ne sait pas réveiller depuis ça capture dit le gardien précédent qui quitte le poste 5 915. Ils l’ont capturé endormie parmi c’est victime, des combats d'écaille leur ont mangé la cervelle à la cuillère apparemment.il se bidonne, le gardien tape l'épaule du plus jeune et lance violemment les clés à ça figure agresser Helm se penche pour ramasse le trousseau à ses pieds. Pourquoi il a fait ça? c’est vraiment un enfoiré Se dit-il.-ah! J'oubliais ne le nourrit pas Et demande moi pas pourquoi.C'est un ordre du seigneur otreca. Helm approuve l'ordre d'un signe de la main. Une fois dans son bureau, il s'installe à son pupitre près de la cellule. Il prend son sac de lin a son dos. il la acheter hier cher l'aubergiste une gourde d'eau citronné. Elle pend à sa ceinture pour le désaltérer au cas où il a soif. Cependant, il évite de boire, car pour aller pisser une par de son salaire en sera soustraite. Car il existe des sentinelles de couloir afin d'atteindre une sécurité maximale et ceux-ci guète même la ronde des gardiens de cellule. À quatre pas de son bureau, derrière les barreaux, le détenu inconscient salive sur le plancher. Helm a distingue sa peau cendré soudée a, c'est cote. Elle est flasque et son ventre nu est gonflé, trop gonflé. L'aspect rond de ce dernier est d'ailleurs troublé par des petites plies qui s'animent comme les vagues d'un océan. Sont bide vibre. Ce murmure Helm. Une heure passa. Le jeune gardien dessine un paysage avec un couteau en silex sur un planche de bois pourrite. Celui-ci représente une rivière aux confins d'un champ de longe herbe fine. Elle chatouille les nuages. Sur les pierres au centre de la rivière, le corps d'un lion dort paisible loin du conflit. Pour lui, chacun des traits qu'il trace est importent comme chaque décision qu'incise de près l'âme d'un combattent. L'épée à la main en plein duel contre sont destin. Le manche de ce couteau est un entrelacement de fil de fer dont la forme rappel des épis de blé et puis sont manche représente est un coquillage. Celui-ci est un cadeau précieux qu'il a reçu enfant. D'aspect cristallin l’artéfact de calcaire scintille de manière timide à la lueur de la torche au mur, en arrière de Helm. Le détenu ouvre les yeux. Promène son regard autour de lui en fessant craquer sa mâchoire et les articulations de sa nuque. Dans un mouvement d'intolérance, il tapote sont ventre. L'unique grande torche jointe au mur lui donne un air sombre la ou il est.Il Soupir. Puis il saisit du fond de sa poche un petit sac de feutre rouge. un fois déposé par terre en sort ce que Helm n'aurait, j'aimais crue voire en sortir, stupeur, une femme de la taille d'une poire.elle porte une robe beige et des ailes de papillons bleu. Ses petites pattes trépignent sur le sol de marbre. C'est froid dit-elle. Cette petite pouce piaille dune voie digne de sa joliesse. Rapidement, le diable la serre de son poing gauche. Le démon lance un regard aigu à Helm et lui présente ses crocs. le gardien intimider, détourne sont regard et mange la croûte de son lunch avec concentration et honte. La petite femme affolée s'écrit : sauvez-moi, je vous en conjure ! Sauvez-moi, je vous en pris ! Je vous pris sauvez-moi ! - C'est inutile. Dit le détenu de la cellule 5 915 qui déchire l'habit de la fée. Pour le hominidé, tu ne vaux rien. Taie toi. Malgré cette interpellation, Helm gênée faits mine d'être préoccupé par ce qui se passe dans les nuages de son dessin, mais, en réalité, il s'imagine tuer son premier adversaire. Afin d'être accepter parmi les seigneurs d'écailles et d'être libéré de ce travail qu'il ait. C'est sont objectif le plus ambitieux, avoir un rôle à jouer. Cependant, ils auraient aucun mérite à en affronter un déjà capturé. De plus, c'est temps libre lui permet à peine d'avoir un semblent de vie sociale alors pour partir à la chasse au monstre s'est foutu et pourtant, il sait comment se battre. D'ailleurs quand le sommeil n'est pas au rendez-vous il s'entraine en courent sur place devant sa fenêtre et regarde les étoiles, fait des pompes avec des briques sur le dos et des redresses sur un tapi de clou bon marché. Malgré cette interpellation, Helm gênée faits mine d'être préoccupé par ce qui se passe dans les nuages de son dessin, mais, en réalité, il s'imagine tuer son premier adversaire. Celle-ci donne sont dernier crie puis est sucé, absorber par les lèvres gercées du détenue pour être ensuite enfermer dans sa gueule. Elle est tartinée par trois langues. L'une rêche sèche munie de crochet, lui arrache la chair. La deuxième humide visqueuse la chatouille sous son énorme poids. La troisième est le mélange des deux autres par contre elle gesticule plus rapidement, claque l'étang de salive et le corps de la fée. Cette dernière, ce fait percé, déchiré, broyer tombe absorber dans son tube digestif, le ventre de la bête. Ses longs ongles translucides grattent les résidus de chair coincer entre ses dents blanches. Helm est incapable d'effacer les dernières criaillerie de la fée de ca mémoire.elle ce répétè s'emmêle puis ce mélange.mal alaise sa vision passe en mode kaléidoscopique sa vision change,ce double,ce divise et faits dansée les mur tel une courtisane en chaleur.la pièce tourne puis ce rompt.ca gorge est lourde.Il se mit à la place de la fée et eu un haut de cœur.ca gorge est lourde. Comme si une limace monte de ses entrailles pour caresse sa luette. Il vomi puis ravale son vomi, s'étouffe et s'étouffe.pendent ce temps,le détenue ni fait pas attention et marmonne dans sont coin. jusqu'alors assis sur une chaise en bois, helm est pris par un vertige,il tombe a terre,achevé, mais au moment où il heurte le plancher la prison entière s'effrite. La population s'affole apeurer. ...