Le scénario et le cliché

Voila, une conversation dans une galerie m'a donné envie d'ouvrir le débat. Je vais pour commencer ce topic pas m'étaler dans un long discours ennuyeux et vais foncer droit au but.

D'après vous, quel place a le cliché dans un scénario ? Est-ce un truc nocif ou normal ? La question vous est ouverte !

Le cliché c'est pas bien. C'est lorsque tu t'inspire de quelque chose d'hyper courant et que tu ne lui apportes rien. Tu fais alors quelque chose de creux, de patos, de ringard donc une chose inutile !

L'influence, l'inspiration, c'est bien. C'est lorsqu'on prend quelque chose, que ce soit courant ou pas, et qu'on se l'approprie. C'est là qu'un thème purement cliché peut devenir totalement original.

Le truc, c'est que c'est hyper difficile de ne pas rentrer dans le cliché lorsqu'on commence, puisqu'on est purement influencé par des auteurs (qui eux même ont été influencé). Il faut alors faire le tri, se creuser la tête, se remettre en question et savoir où tu veux en venir.

Après, je pense qu'au début, on fait toujours quelque chose de plus ou moins cliché dans nos premiers travaux. C'est dur d'être pleinement original... Faut être un génie comme l'a dit Layou...

Je pense que le cliché est un tremplin formidable pour l'humour, en témoigne one punch man et gintama.

Je pense aussi qu'il est bon d'utiliser le cliché comme piège scénaristique, faire croire au lecteur qu'on l'emmène en terrain connue avant de balancer un twist bien violent.

être trop original est dangereux, on peut faire fuir plein de lecteur qui se disent "houla...ça a l'air trop space pour moi"

l'idéal est peut être de se dire: "je vais faire une histoire dans telle registre, maintenant je dois voir ce que je peux apporter à ce registre, qui fera de mon oeuvre une potentielle nouvelle étape dans l'évolution de ce registre"

enfin, en terme d'innovation, je crois que la technique de brian de palma est la meilleure: divertir tout en experimentant. Construire ses oeuvres sur deux pistes de lecture: une, premier degré (compréhenssion dans le divertissement), une autre où on peut ce laisser aller dans la reflexion subtile (que ce soit dans la mise en scène, les sous entendu, les design, les nons dits...)

Incocorico a écrit:

Je pense aussi qu'il est bon d'utiliser le cliché comme piège scénaristique, faire croire au lecteur qu'on l'emmène en terrain connue avant de balancer un twist bien violent.

Gen Urobutcher

Le berceau de l'humanité est l’Éthiopie.On a fini part ce dispersé a travers le monde puis nos civilisation on grandi séparément les un des autres.Pourtant les récit,légende et croyance on tous les mêmes symboles qui revienne systématiquement. Quand je dit même symbole ça veux dire qu'il s’attache aux même apport symbolique. Exemple les dragon revienne souvent.ils sont en fait une chimère de l,inconscience collective qui ce rejoins en outre au symbolisme du

serpent:

dont on assimile la peau a d'autre bête par la suites ce qui rend plus précis c'est propriété symbolique spirituel.Quand je dit spirituel je veux dire symbole inconscience donc dans notre psyché et non un être magique gambadent dans le monde réel ,celui don notre conscience est témoin.
Mettons celui ci dans un contexte d'une histoire de stéréotype classique.
Le chevalier va délivré la princesse du dragon enfermer dans une tour.

quand on li un histoire ou que l'on regarde un film on tente de s'identifier consciemment et inconsciemment a tout les personnages, contexte ,objet, paysage, mimique ,situation ,problème,couleur,ect...

Ainsi le chevalier: représente le moi conscient si on est consciemment un homme//pour la femme le chevalier représente sont inconscient sont animus* (la part masculine inconsiente de la femme),

la princesse:représente pour la femme consciente ,son moi//pour l'homme c'est son anima*(la part féminine inconsciente de l'homme),

le dragon:dans ce contexte il représente le démon intérieur,la part de nous même qui nous faits peur ils nous bloque le chemin et il nous faut le terrassé pour unir nos deux part (consciente et inconsciente)

nous(votre moi individuel):représente c'est trois figure.

Pour ma part j’apprécie Toute les histoires.Quoi que ce soit je croie que ce qui est subjectif comme un récit qu'il soit bourré de stéréotype ou non dont être jugé objectivement.

conclusion je défend les stéréotypes(archétype) dans les récit.c'est normal.

animus:

*

anima:

*